Matin amer qui s'abreuve du temps glacial
Givre nouveau sur un sol plus qu'aride
Se déchirant sous la lourdeur de mes pas
Et envahissant subtilement la richesse de mes désirs
Soleil intense qui réchauffe les feuilles
Alors que scintille des perles sur le fruit de mon labeur
L'énergie de l'arbre s'harmonise avec mon âme
L'espoir pur comme la sève coule dans mes veines
Corps meurtri par le poids de ma journée
Sous un soleil libre de se déchaîner
La sueur sur mon front reflète l'exaspération
Et depuis, mon coeur abrite de la compassion
Écrit par Maussenrime
Qui a dit que les mots du cœur se devaient d'être structurés?
Catégorie : Divers
Publié le 28/11/2010
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Commentaires
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Posté le 28/11/2010 à 09:24:35
Joliment écrit ! amitiés Louann |
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louann |