Pas de chance
- complainte d'un homme -
Je traverserais des forêts
Longues comm' trois provinc's de France
Pour retrouver votre présence,
Pour retrouver vos doigts fluets.
La douceur de vos yeux humides
Si noirs, et si doux, et si grands
Que je croisai près des étangs
Au creux de champs pourtant arides.
Bien loin de la raison, amie,
J'réussis pas à oublier
Ce regard qui me fit brûler,
Premier vrai instant de ma vie.
Déjà vous aviez un époux
Et je ne suis pas un voleur!
Depuis, vous vivez en mon cœur
On n'choisit pas, que voulez-vous!...
Écrit par Mokolo
Mieux vaut rire que pleurer... mais il n'est ni honteux ni interdit d'être ému aux larmes.
Catégorie : Amitié
Publié le 13/06/2014
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Commentaires
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Posté le 13/06/2014 à 00:28:46
très touchant, un amour sincère et éprouvant au fil du temps qui ne fait qu'agrandir ce rêve amour, magnifique poème très chère flipote bien à toi zeste |
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zeste |
Posté le 13/06/2014 à 00:29:44
merci aussi très cher Mokolo pour chaque mot de flipote... | |
zeste |
Posté le 13/06/2014 à 04:23:31
Cela me rappelle les confessions de Jean-Jacques Rousseau avec ses histoires d'amour. | |
eric |
Posté le 13/06/2014 à 07:13:14
humour talent et, fantaisie. Vous embrasse ma chère poétesse. | |
Abdel |
Posté le 13/06/2014 à 18:32:54
Un grand merci à toi, très chère flipote, pour ta mélancolique complainte qui n'est que trop vraie, hélas, quand le destin en a voulu ainsi ! Et un grand merci à vous, Mokolo, pour votre accueil toujours bienfaisant. Cordialement. |
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jacou |
Posté le 13/06/2014 à 23:29:36
MERCI À TOUS JE NE PENSAIS PAS À ROUSSEAU , ERIC MAIS OUI! IL Y A UN PETIT AIR DE FAMILLE ET TU ME L'AS BIEN MIS SOUS LES YEUX, | |
flipote |
Posté le 14/06/2014 à 09:13:23
petite correction pour éviter quelquechose de peu euphonique: Premier instant vrai de ma vie ,,,, |
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flipote |
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