Virevoltent ces apparues méduses,
Se prolongent, s'élongent dans un temps ressenti
Aux flottements apaisés de pensées plongées
En éveil arborescent dans le cours d'une eau majestueuse,
Délicatement médusée.
Ondes lumineuses, gouttelettes de mer de fables heureuses
Reflètent, se déposant en cascades sous la folie écumante
D'une gloire douce, sinon ta peau sagesse
T'y retrouverai mieux encore qu'auparavant.
Clair, ton esprit. D'eau profonde.
Le soleil y flotte gaiement.
Tu sauras être lumière et j'y ajournerai le temps.
Ces bisous sur ta petite joue.
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Commentaires
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Posté le 01/09/2013 à 18:41:07
Lorsque je comprends un poème, c'est que pour moi il n'est pas bon, le vôtre me dépasse et m'interpelle, sans que je sache pourquoi ! | |
marco |
Posté le 03/09/2013 à 07:37:41
Magnifique !! | |
Balder |