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Il est passé minuit et je reste étendu
Les bras entrecroisés sur mon corps frissonnant,
La bouche desséchée à mon souffle haletant
Dont l'écume s'enfuit en un râle éperdu.
C'est la deuxième nuit, je n'en peux vraiment plus.
J'ai l'estomac noué et le cœur défaillant,
Mes songes sont ancrés à ce futur présent,
Accrochés à un « oui », espéré, attendu.
Je sens comme un frisson me taquiner le dos,
Glissant sur mes soupçons pour pénétrer mes os
Dans une étreinte ardente et exquise à la fois.
Je flotte quelque part sur un nuage blanc,
Une brise apaisante envahissant ma foi,
Mon désir de départ pour un nouveau printemps.
*
Pour toi, Axelle
Écrit par Morch
La vie est une traîtrise, l'amour est son poison
Catégorie : Amour
Publié le 13/04/2008
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Commentaires
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Posté le 13/04/2008 à 13:28:26
Très beau poème! | |
Michka |
Posté le 13/04/2008 à 16:34:59
Tu as encore taquiné la muse ;-)! | |
Ax-L |
Posté le 13/04/2008 à 18:23:56
J' aime beaucoup ton rêve blanc . Je vais lire l' acte 2 tout de suite . |
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Milouse |