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En te cherchant je me suis pris à sangloter.
Que ce serait une douceur que de pouvoir
En cet instant, ce jour d'ennuis, te retrouver.
Je ne voulais que mes pleurs te faire voir.
En t'écrivant je me suis dis que le passé
Un jour saurait, tel un docteur, de ton départ,
Tout doucement, offrir l'oubli d'avoir saigné.
Je ne pensais qu'à ton bonheur dans cette gare.
En te parlant de mes soucis d'amant volé
Je n'entendais dans l'écouteur que la guitare,
Imaginant que dans ta vie tout était gai.
Je ne savais que dans ton cœur dormait l'espoir.
En te voyant j'ai bien compris que mes pensées
Soudain n'étaient plus de rancœur ni même noires,
Mais comme avant la seule envie de t'admirer.
Je me noyais avec langueur dans ton regard.
En t'embrassant j'ai ressenti l'intensité
Que tu taisais avec pudeur à mon égard.
En ce printemps, sous cette pluie, j'ai avoué
Que je t'aimais avec ferveur, sans exutoire.
En te laissant, à ton mari, trop tôt rentré,
Je te perdais, ma douce fleur, encore un soir.
J'aimerais tant, sans comédie, enfin rester.
A tout jamais, pour ta chaleur, je veux y croire.
*
Pour toi Axelle
Écrit par Morch
La vie est une traîtrise, l'amour est son poison
Catégorie : Amour
Publié le 16/04/2008
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