Ce parc éveillé de jouissance, cette
Atmosphère de béatitude apaisait
Autrefois mes chagrins, d'un simple
Vent doucereux, tout effacer.
Les jubilations enfantines redonnais sourire
Aux malheureux assied dans leur misère.
Le chant d'oiseaux éveillant aromatisait
Le cœur de valeureux vieillards.
Dans un profond soupire le fardeau des
Opprimés s'évapore dans l'aire pure
Hélas, Aujourd'hui ce charmant parc est
Devenue mort, déserté par les rires d'autrefois.
Il ne me reste qu'aujourd'hui de simple souvenir,
Immortaliser dans une mémoire lointaine.
Ce soir j'y retournerai d'un cœur paisible,
Faisant une dernière fois de la balançoire.
Afin que ce lieu autrefois habité par la joie,
Est un hommage digne de ce nom
Puis je m'envolerai ne regardant plus
En arrière, marchant doit devant moi.
Écrit par Nelreck
Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière.
Catégorie : Triste
Publié le 05/05/2017
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de Nelreck au hasard |
Annonces Google |
J'aime ton beau poème, mélancolique à souhait, comme "à la faveur de l'automne" (chanson de Tété), les parcs d'anciens temps se vident peu à peu. | |
jacou |
Merci Jacou. | |
Nelreck |
J'aime ce poème plein de nostalgie du passé | |
roserose |
Un petit pincement au coeur joliment exprimé ! | |
suane |
Merci Roserose et Suane vos commentaires font plaisir. | |
Nelreck |