La nuit brillait de la lueur du crépuscule
En équilibre, nos vies, là haut telles des funambules
Marchaient sur place dans un mutisme assourdissant
Un instant d'éternité comme d'innombrables temps
Une Lumière noire planait tel un ange diabolique
Mon cœur tu as percé dans cette nuit électrique
Une révolution tranquille grondait en silence
Sous un soleil noir j'affrontais cette brève errance
Entre nous, nous ne parvîmes qu'à mettre une courte distance
Une guerre sans morts autant qu'une guère épaisse alliance
Trop tôt vinrent m'arracher de ce beau cauchemar
Ces splendeurs invisibles perdues trop tôt ce soir.
écrit le 05 septembre 2009
par Nicolas Chaudoir
nicolas.chaudoir@gmail.com
Écrit par Niko
Les plumes d’antan, trop souvent perdues dans les dunes, étaient redevenues la lune de ses nuits.
Catégorie : Amour
Publié le 05/09/2009
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