Clavier sans plume triste génération en manque d'attention, rêve parti en horizon perdu où coûte que coûte goutte à goutte mon amour à qui je murmurais de doux poème me laisseras-tu bohème ?
Au versant... versant des larmes n'avoir pu garder la flamme qui réchauffe ton âme Rodant des pensée sans fin où le début n'est qu'une étincelle sans mèche bonne ficelle anti-sèche de l'amour court à dérision des cours en manque d'envie car le coeur palpite trop vite
les femmes une drogue douce où pour en oublier une on plonge dans les délices d'une autre ainsi de suite mais une seule essuie les larmes de mon âme...
Je ne peux que jouer sur certaine sonorité où mes propres idées à l'oral ça sonne autrement, ça donne un aspect différent, pulse pour ceux qui connaissent kerouac sûrement beaucoup ; comprendront la façon et la vitesse dont j'ai voulu l'écrire, l'intérêt de la vitesse, et la sensation, les sentiments, les perceptions, ensuite je compte prendre mon temps pour le travailler et le tailler, là ça n'est que du brut mais moi ça me plaît, je voulais partager ma petite passion du "pulse" avec vous, je trouve ça intéressant
Écrit par NoName
en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes freres me laissent toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne valait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulait
Catégorie : Amour
Publié le 08/02/2013
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Tu as raison : ça pulse ! Les mots s'accrochent les uns aux autres et nous entrainent sans qu'on ait le temps de souffler. On dirait du rap. Tu devrais le chanter. | |
Marouette |
merci | |
NoName |