A l'envers à l'endroit,
De ces pages que l'on écrit,
Et l'on décrit, en étant roi,
De ce que l'on pourrait dire.
Au recto au verso,
Sur la tranche et sur le fil,
Texte rasant ou de bistrot,
Trop rasoirs, ou trop furtifs,
Textes en tête que l'on délivre,
En aurore, en gouttelette,
La rosée, ou bien le pire,
Que l'on comprendra peut être.
Quand le temps passera,
Et qu'on aura pu méditer,
Quand ne seront les aléas,
Plus les risques de ce métier.
Alors peut être en bout de page,
Nous mettrons un point, virgule,
Deux en un, soyons donc sages,
Car à l'abri ne sont nos plumes.
Puis un titre qui contera,
Le mot d'ordre d'origine,
Le plus simple, le plus sympa,
Ou pour transformer en hymne.
Allons donc, un point final,
Il ne faut pas s'éterniser,
Être surfait ou trop banal,
Car on se voudrait alors entier.
Écrit par Noctendiurne
Et si je peux oublier, verbe, et si je peux, et sans paroles,
Te dire des choses, même les mêmes, Sans de l'emblême, être l'aumone. Gregor Perret http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 28/05/2009
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Noctendiurne au hasard |
Annonces Google |
j'ai beaucoup aimé, cette façon de parler de l'écriture... Amitiés Louann |
|
louann |
trés trés beau! amitié |
|
MARIE L. |