Sous tes paupières qui sommeillent,
Je colore tes nouveaux rêves.
Mais l'avenir se réveille,
Je ne veux pas qu'on t'enlève.
Si tu veux de reste chez moi!
La vie est sur du papier,
On y fait nos propres choix,
Avec nos pleins, nos déliés.
Je donnerai ce qu'il faut,
Pour que tu n' manques de rien.
L'amour, malgré ses défauts,
Est une force tu le sais bien.
Bien-sur pendant tes vacances,
On s'en ira à la plage,
Pour courir dans l'insouciance
Des vagues et du paysage.
Sur des chevaux camarguais,
On ira dans le maquis,
Chercher les oliveraies
De nos territoires conquis.
Tu verras la vie est belle,
Quand on est sur le chemin,
De la fleur de mirabelle,
Qui me rappelle ton parfum.
Mais promets-moi d'être sage!
J'ai toujours confiance en toi!
Si tu veux que l'on partage
Cette aventure, c'est ton choix.
Je saurai bien te guider.
Les choses que tu dois apprendre,
Il faudra les aborder,
Sans un mot, et sans esclandre!
Je ne veux que ton bonheur,
Afin que ta vie futur
Te préserve des erreurs.
Qu'elle soit riche de cultures.
Je sais bien que mes conseils
Te saoulent, je le sais trop bien.
Mon père me disait pareil,
Pourtant, je n'écoutais rien!
Je ne retrouverai pas!
Jamais! ça c'est du passé.
Mais mon avenir est là,
Même si on va divorcer.
Oh! Sais-tu combien je t'aime,
Ma petite fille chérie?
Tu es l'aube de mes jours,
La lumière de ma vie.
Et je t'aimerai toujours,
Même si on est séparé.
Je garderai ton amour,
En moi, pour l'éternité.
Écrit par Noyan
Une pratique qui se pratique en pratique est pratique.
Catégorie : Amour
Publié le 07/05/2011
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poème très touchant sur l'amour que l'on porte à ses enfants | |
steredd |
merci pour ton commentaire :) | |
Noyan |
très touchant ce texte empli d'amour paternel, celui qui se perpétue à travers les générations et que l'on n'arrive à saisir qu'en devenant parent à son tour | |
philomène |