Quelle joie a envahi mon être ce soir-là,
Lorsque je t'ai serré tendrement contre moi !
Sentant ton petit coeur battre contre le mien,
Avec amour, sur ta tête, glissait ma main.
Avais-tu mes yeux ou avais-tu les siens ?
Tes cheveux étaient-ils bouclés, blonds ou châtains ?
Je l'ignore, à cet instant-là peu m'importait,
Tu étais mon enfant, mon trésor, ma moitié,
Et seule cette vérité comptait.
Tes mains minuscules, tes tendres mains de bébé,
Autour de mon cou ont cherché amour, tendresse,
Et doucement tes yeux d'anges se sont fermés
Au doux son de mélodies enchanteresses...
Hélas, j'ai dû te laisser dans ton berceau, assoupi,
Lorsqu'au petit matin mon rêve s'est enfui...
Mais tous les rêves deviennent un jour réalité
Dans quelques années, à nouveau, je te câlinerai...
-Olympe-
Écrit par Olympe**
Une fois qu'on a trouvé ce pour quoi nous voulons nous battre, notre vie prend enfin un sens...
Catégorie : Divers
Publié le 13/02/2010
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très triste, mais très bien écrit.. | |
lo |
Joli poème emprunt de mélancolie . J'espère que ton voeu sera exaucé. Amitiés | |
TANGO |
Olympe bonsoir, Quel texte magnifique, l'émotion est à son comble dans ton poème, que ton voeu se réalise le plus vite possible. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Ton poème est émouvant, comme mes amis poètes, je souhaite que ton voeu se réalise au plus vite, malgré la grande mélancolie qui de dégageait de ton poème, j'ai adoré l'écriture soignée et parfaite ainsi la douceur de tes vers. Amitiés et bonne Saint Valentin. |
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JB |
quelle merveilleux rêve...je te souhaite qu'il ce réalise et qu'il te procure tout le bonheur du monde"celui d être maman". amitiés estrella |
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estrella |