Le mal est annoncé :
C'est l'opium qui me ronge.
Pathétique conclusion d'une vie de péchés.
Ainsi je finirai, emporté par mes songes.
J'aurais juste voulu, une toute dernière fois,
Te revoir mon amour, pouvoir baiser tes mains,
J'aurais juste voulu, une toute dernière fois,
T'aimer mon amour, du soir jusqu'au matin.
Vénus de fumée toute drapée de vapeur,
Je ne vie que pour toi, pour la brève illusion
D'amour que tu me portes, ô délice, ô splendeur,
Tu n'es que folie, rêve et douce déraison.
J'aurais juste voulu, une toute dernière fois,
Me perdre dans tes bras, en ton sein me noyer.
J'aurais juste voulu, une toute dernière fois,
Humer ta chevelure aux fragrances opiacées.
Le mal est annoncé :
C'est l'opium qui me ronge.
Pathétique conclusion d'une vie de péchés,
Ainsi je m'éteindrai, consumé par mes songes.
Voilà...dernier texte de la série, on peut dire que je vous aurais bien ennuyé pendant 5 jours ;)
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Non pas du tout,ça m'a permis de découvrir un nouveau style d'écriture très agréable à lire, même si le sujet est parfois violent (je parle de la drogue) mais tes écrits en eux mêmes sont superbes et je te remercie de nous les avoir fait connaitre. Bon dimanche ami poète. |
JB  |
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Une triste fin pour cet écrit...Mais l'opium peut être n'importe quelle douleur de la vie, non ? Amitiés Louann |
louann  |
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Trés belles images j'ai beaucoup apprécié. |
| eric |
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Tu as donc dû voir le chat noir d'Edgard Allan Poe. |
| capodastre |
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Les derniers vers sont magnifiques...Merci pour ce régal de noirceur et mysticisme au parfum de folie. Amitiés, Jam. |
| Jam Wood |