Et tiens, si nous nous partions très loin, très loin d'ici,
Si nous quittions le gris, le réel et l'acier ?
Car ici rien n'empêche les enfants que nous sommes
De toucher le soleil, de quitter ce bas monde.
Allons à la recherche de nos rêves perdus,
Ces rêves condamnés, enfermés dans nos crânes,
Et faisons les jaillir, et laissons les briller !
On nous prend pour des fous parce qu'on ne veut pas grandir,
Parce qu'on préfère partir, fuir dans l'imaginaire.
Nous cherchons la lumière, nous avons peur du noir,
Du monstre du placard et du grand méchant loup.
Nous sommes des enfants qui ont grandi trop vite,
Il faut nous rassurer, nous comprendre, nous aimer.
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Commentaires
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Posté le 28/03/2011 à 01:45:00
MAIS , ON T"AIME , QUOI! BISOUS JEUNE HOMME | |
flipote |
Posté le 28/03/2011 à 07:54:23
J'aime beaucoup ce poème qui reflète en quelques vers les jeunes gens d'aujourd'hui ! Peut être de voir la folie et la triste vie d'adultes ils préfèrent rester dans leur imaginaire à rêver d'être à jamais des enfants... On a pas inventé le syndrome de "Peter Pan" pour rien ! J'ai la même à la maison, je l'aime, je la rassure et je la comprends... Bisous Louann |
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louann |
Posté le 28/03/2011 à 10:03:11
je comprend, j'aime et je rassure, enfants qui avez grandi trop vie, on ne vous volera pas votre enfance, alors fuyez au loin avec vos voeux mutins | |
philomène |
Posté le 28/03/2011 à 13:17:15
Orpheus, ce poème surf vraiment sur la vague de l'imaginaire et en cette après midi ensoleillé, c'est parfait... :D Merci et bonne après midi... |
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kimidoll |
Posté le 28/03/2011 à 19:45:00
OOoh un autre camarade atteint du syndrome de Peter pan, bienvenu au club^^ | |
Rydia |