Et elle danse, et se trémousse,
Dedans sa robe, qu'est bariolée,
Pour des poivrots en bout de course,
Pour de Jeunes mecs bon marchés,
Et on se frôle, ou l'on se touche,
On zieute, et puis, enfin, après,
C'est à l'envers, qu'au fond d'une couche,
Les amants viennent, et vont rentrer,
Pour un coup d'trop, une soif d'amour,
Qui se déguise pour ce Marché,
Au fond d'un verre, un peu glamour,
Au fond d'un rire, travaillé.
Et elle danse, et se trémousse,
Le monde autour mate, et après,
Se couche la nuit, puis vient le jour,
Le même cycle, c'est notre planète.
Un jour je sais, le monde autour,
Arrêtera de regarder,
Et sentira enfin l'Amour,
C'ui qui se paye, d'la tête aux pieds.
Au fond ma soif de Troubadour,
Fut comme toujours de raconter,
Les frasques d'autres, c'est mon Atout,
Ou bien les miennes, c'est mon Marché.
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un ton nouveau pour moi , très goûteux,, merci je me suis régalée | |
flipote |
Original. Le ton léger n'est pas pour me déplaire ! | |
Margot de Broceliande |
bonsoir Oxymidon, bienvenue parmi nous, voilà un écrit différent qui est plaisant de lire et de relire ... très belle entrée en matière à très bientôt - amitié poétique |
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marie-ange_old2 |