Il a soufflé le pour, il a soufflé le contre,
Ce vent qui s'en est allé à notre rencontre.
Malgré tous les baillons, censures de paroles,
Il a glacé nos cœurs, ce descendant d'Eole.
Qu'en est-il des consciences, des grands de la planète,
Sujettes aux intérêts, et pauvres girouettes ?
Et la seule question qui à mes yeux m'importe,
(Où vont les larmes des peuples, quand le vent les emporte ?)
(Musset)
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Écrit par PAPY ROBERT
Vous ne pouvez pas empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de vos têtes, mais vous pouvez les empêcher de faire leurs nids dans vos cheveux. [Proverbe chinois]
Catégorie : Triste
Publié le 02/10/2009
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Commentaires
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Posté le 02/10/2009 à 08:02:08
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Très beau ! |
Iris  |
Posté le 02/10/2009 à 08:35:22
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superbe! |
| MARIE L. |
Posté le 02/10/2009 à 09:12:05
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bonjour PAPY ROBERT, très belle réflexion, mais c'est à eux qu'il faudrait poser la question ... quel est le poids des sentiments de certains hommes face aux intérêts ambitieux d'autres, malheureusement les sentiments ne font pas le poids ... et bien des larmes couleront encore |
| marie-ange-old |
Posté le 02/10/2009 à 10:41:11
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Oui où ? |
eric  |
Posté le 02/10/2009 à 10:55:37
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Superbe, réflexion qui nous porte à nous poser la question... Amitiés Louann |
| louann |
Posté le 02/10/2009 à 20:08:07
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Peut-être que ça devient des rivières ^^. |
| sofia |
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