Imitant Neruda, j'ai voulu composer
ces cent sonnets d'amour pour qui fut la première
devenue aujourd'hui ma dernière lumière,
la muse de mon cœur, toi qui m'a fait oser.
Tu m'as donné de quoi me métamorphoser
d'un vers mathématique en un rimeur de pierre
cherchant mon Graal armé de mots comme rapière
pour découper dans l'air mon ultime baiser.
Sous ces gourds calicots chantant ta bienfaisance
s'écoule le roman de mon amour d'enfance
revenant au galop descendre mon rideau.
C'est mon acte final pour que le monde sache
de ta bonté suprême et ta pudeur sans tache
capables d'inspirer le plus total cadeau.
Écrit par Pierre de Coeur
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Pierre de Cœur Catégorie : Amour
Publié le 19/05/2016
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Commentaires
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Posté le 20/05/2016 à 18:00:41
Quelle belle dédicace à votre muse. M iroir de notre âme U niverselle et femme S ecoue notre ego E n de jolis mots |
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schweepouille-deleted |