Dans les couchées du sommeil, chaud réseaux de coton d'inde,
notre pognon mince juste récompense qui scinde
les échos-dogmes dans les temps impartiaux des réflexions,
des bulles dans les frigos rigides errent, curent dans l'action,
des gens civilisés, pas des dames croquées, les particules
s'agitent sont couvert par le brouillard on rêve les morceaux zonars,
on s'assied a table, on est paumé, long chemin dans les nuages molécules,
molécules en blanches nuées, molécules de vapeur d'eau, il est tard
je me retourne me coucher aux lits, je veux aller aux lits,
je veux aller aux lits !
Dans les couloirs tâtes les obstacles
les silhouettes déplumées, où l'on vois ces formes-miracles
muette et touillante a la fois, la more extérieure aux tuyaux iléaux
spéléo dans les aléas, et je tombe sur les lits, m'en délivrent
des secrets, des folies solides glissent et cisellent les grosses pièces.
Fondu des paupiettes et terne décor, retour a l'art de vivre,
sur un tapis persan un sphinx d'or fais la sieste
son pied se mêle de mes oignons je vous contes les moultes péripéties
du pain de l'âme des millions, croustillants sur la croute qu'il faudra partager
la chips humaine et ses facéties
sont encore en train de patauger.
Écrit par Plume borgne
petit a petit viens l'appétit.
Catégorie : Divers
Publié le 06/12/2021
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