il y avait le dehors et ses soupirs
et la fenêtre maquillée de ciel gris
et puis au milieu des songes et des fous
lucie qui sourit
dans le vague de ses yeux
on croirait observer
un fragment du cosmos
ou un bout d'infini
disparu
lucie semble s'éteindre depuis des millénaires
mais dans le mais dans le vague de ses yeux
il y a toujours
des sursauts de lumière
lucie est la teinte oragée des crépuscules
qui s'efface et continue de gronder dans le noir,
dans l'imperceptible
où le silence exsude
ohé,
sauras-tu encore
comment briller
petite luciole
Écrit par Poesie nocturne
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Catégorie : Triste
Publié le 28/03/2016
|
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Commentaires
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Posté le 29/03/2016 à 00:17:39
Superbe "petite Luciole" Au plaisir de vous relire ! | |
Galerion |
Posté le 29/03/2016 à 01:49:44
Ravissant, mon petit ! Au passage, en moins d'une semaine tu nous sors 2 prénoms féminins différents, who's next? ;) |
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eco-blanchiment |
Posté le 29/03/2016 à 02:11:07
"Un bout d'infini", merci. | |
Tarada |
Posté le 29/03/2016 à 23:31:27
J'aime "la fenêtre maquillée de ciel gris" et la beauté simplement amenée de la dernière strophe ô eh puis le tout aussi ! Merci. | |
jacou |