Le linceul d'étoiles s'est mis en place et recouvre le sombre
Et la nuit absente de toute lune, déploie son emprise sur moi
Le noir est tellement compacte que je ne puis plus rien confondre
Et dans cette contemplation d'un océan de pénombre mes yeux se noient
La faune semble se réjouir que le soleil ait baissé sa garde
Le silence se teinte de cris, s'élève un chant lugubre
Les lumières de la ville me paraissent blafardes
Loin des cheminées, mes poumons s'emplissent d'un air salubre
Que vienne le char paré d'or
Que le décor s'éveille, que les arbres s'étirent
Pour qu'avant l'aube s'envole l'aurore
Et que je puisse vivres les rêves auxquels j'aspire
Écrit par Poetymologique
J'ai des utopies qui coulent dans mes artères , et je n'hésiterai pas a me battre pour que rien ne les altèrent.
Catégorie : Divers
Publié le 11/12/2011
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Poetymologique au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 11/12/2011 à 23:12:19
Bonsoir Poetymologique, bienvenue parmi nous, très bel écrit, "les mystères de la nuit", demeurent entiers. à très bientôt |
|
marie-ange_old2 |