Les jours qui passent frémissent
Ils se tordent dans mon ventre
Et pour que ma noirceur murisse
Et pour que je l'enfantes
Tu as créer en moi un tourbillon d'ennui
Une diatribe enflammée, d'un brasier sans bois
Une onde de colère qui fuse dans l'azur
Un chant arraché au rebord des lasures
Dans son tonneau de lumière
Le philosophe s'irrite
Même plein de complaisance il sait ce qu'il mérite
Une histoire enchanté qui glisse entre ses doigts
Une ode à l'amour qui s'éteint dans la joie
Sur de son empire le monarque s'agite
Il est seul et perdu entouré de néant
Tu es sa seul sortie oh toi belle Aphrodite
Même la peur au ventre tu glisse entre ses dents
La vie n'est plus un jeu pour ceux qui la tutoie
Un jour elle tue un autre un jour elle te tue toi
La mort est sont amant mains dans la mains ils vont
Vivre est ce qui nous tue de toutes les façons.
Écrit par Ramdam
Si tu ne veux pas noircir tu ne blanchiras pas
Catégorie : Triste
Publié le 05/08/2020
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Vivre n'est pas toujours chose aisée et c'est toujours un jeu dangereux qui nous tuera à la fin. Ce beau poème est empli de nostalgie qui me touche particulièrement. | |
eliosir |
La tristesse des jours envahit de profondeur ce poème ... J'ai aimé sa lecture sa philosophie entre chagrin et lumière Bravo et bienvenue sur notre site Ramdam ! |
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Yuba |
Ce poème a du cachet, beaucoup de tournures à méditer et qui me plaisent bien. Je vous encourage à continuer l'écriture, on sent qu'il y a un potentiel ! Merci du partage Ramdam | |
creature |
Bonsoir, Bravo .. Belle Idée que ce Sujet .. Et comme le souligne bien Marine, Il y a du potentiel sous ces Mots … Merci du partage ! Lys-Clea |
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Lys-Clea |
Merci beaucoup pour vos mots qui me touche , je continue à écrire bien évidemment , je ne sais pas faire autrement lorsque l'inspiration monte il faut quelle sorte d'un manière ou d'une autre 😊 | |
Ramdam |