Pour finir le chemin, quoi de mieux que toi ?
La Mort, la fin du chemin, la fin de tout.
Comme l'arrivée d'une course effrénée sur un parcours impossible
Tu sonnes le glas et le repos.
Te permets tu des échanges ? Des compromis ?
Je ne te comprends pas mais j'espère que ce texte te parlera
J'espère vraiment.
Qu'il fasse raisonner en toi quelque chose de plus profond qui ne sont pas existants chez tes deux confrères.
Puisses-tu un jour trouver toi aussi le repos dans cette tâche hasardeuse autant que difficile.
Mais je suis conscient que ta tâche est nécessaire, mais pourrais-tu parfois ralentir ?
Car la douleur que tu laisses en sillon derrière ton passage est si... terrifiante. Tu engendres tellement de tristesse et de peine. Tu me diras, un certain soulagement parfois aussi.
J'aurais aimé pouvoir discuter avec toi, mais nous nous retrouverons bien assez tôt lorsque ton lent chemin inexorable croisera mon petit chemin parsemé de joie, de doutes et de malheurs.
A toi la Mort, j'aurais voulu te voir verser toutes les larmes que j'ai eu, que tu ressentes cette terrible étreinte au plus profond de toi.
A bientôt ma Chère.
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J'aime beaucoup la quatrième laisse, et tout le poème du reste me parle intensément. La Mort, nous la croiserons bien assez tôt. | |
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