A la croisée des regards,
A l'innocence des mots,
Seuls on nous laisse, hagards,
Contemplons leur lien si beau,
« Tes yeux sont un départ »
Semblaient dire l'un à l'autre.
Assis devant un grand feu de joie,
Qui s'extasiait à cuir leur amour,
S'admirant et n'y pensant pas seconde fois,
Leur union chauffait l'atmosphère, tel un four.
C'est cette ardeur de leur envie,
Qui bien sûr les maintient en vie,
Relation fusionnelle,
Lien et dimension nouvelles.
Lisant chacun les lignes de la tendresse
Dans les plis satisfaits du doux visage
De son bien-aimé, aimant ses caresses,
Ils bégayaient, se parlaient comme en bas-âges.
Les vers réguliers de la respiration rythmée
De son amant sont les pulsations de son cœur.
Son corps, ses sens sont encore sonores
De la musique personnelle de son bien-aimé.
A la croisée des regards,
A l'innocence des mots,
Seuls on nous laisse, hagards,
Contemplons leur lien si beau,
« Tes yeux sont un départ »
Semblaient dire l'un à l'autre.
Écrit par Scalpel
Le but dans ma vie n'est pas de me trouver, c'est de me construire !
Catégorie : Amour
Publié le 07/02/2009
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Il est bien ce poème, j'adore le refrain >c'est vraiment bien construit, les jeux sonores sont bien trouvés... Je me souviens pas avoir déjà lu un de tes poèmes avec autant de plaisir. ^^ J'aime |
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LolaLilla |
waah merci lolalilla :) les jeux sonores s'expliquent surement par le fait que je voulais en faire une chanson. Mais vu qu eje sais pas chanter, j'ai pas trouvé un bel air pour aller avec, c'est devenu un poème =) |
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Scalpel |