Quand vient cette lumière d'espoir, de libération.
Quand elle vint se poser sur ton front,
cette espèce de fiction intellectuelle,
que l'on surnomme la remise en question,
nous nous devons de maîtriser ses nerfs,
cette surexcitation, qui brille dans notre corps dans notre nom,
incontrôlable, telle une fascination.
Puis tout d'un coup un brusque changement d'état,
Laisse apparaître en moi,
ce son perçant, puissant.
Quand bien même un malentendant, arriverait à comprendre intérieurement.
C'était des cris de douleur, que nous-mêmes nions, pour repartir avec cette fierté.
Quelle fierté ? La fierté d'un être délaissé. Je me sentais "Acier".
J'étais perdu dans mes pensées, dont je m'efforçais de rendre plus clair.
Enfin d'éclaircir tous ces mystères. Mon activité psychique ne répondait plus.
Comme je l'ai cité obstinément perdu.
Je suis revenue à en proférer quelques mots progressivement,
J'ai recommencé de nouvelle chose, j'ai subsisté, je suis en vie. ce n'est plus qu'un ralentissement.
Et puis, grâce aux douceurs me parlant.
J'ai joui et profité de ces douceurs de la vie.
Que l'on ne voit pas toujours,
mais qui elles, sont constamment présentes si l'on cherche plus patiemment.
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Hallucinant ! | |
thimothee |
Je veux bien le prendre comme une compliment En tout cas merci, mais j'aimerais bien que tu me définisses ton sens approximatif ? Bonne soirée, Sophia |
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Sophia |
Hallucination : délire phantasmes divagations entre autres ! | |
thimothee |
J'ai relu ce poème est intéressant bien que complexe, les idées exprimées me semblent confuses, pourtant elles semblent véhiculer un mal être à prendre en compte. | |
thimothee |
Ah très bien ! c'est ce que je désirais évoquer ! | |
Sophia |