Je suis vraiment désolé
De ne pas avoir su t'honorer.
J'aurais dû écrire ce poème plus tôt,
Te dédier cette composition de mots.
Voilà quelques années que tu es parti
Et tous, nous avons grandi.
Je me demande si tu aurais été fier
De ces jeunes turbulents que nous étions encore hier ?
Je sais que tu n'es pas loin.
Que tu regardes ceux à qui tu as prodigué soins,
Amour, conseils et encouragements
Quand s'abattait sur nous le découragement.
Cette année-là nous avons remporté la victoire
Et l'avons fêté jusqu'au soir.
Mais tu étais dans tous nos cœurs
Lors de cet instant de bonheur.
Aussi j'espère que tu vas bien
Et que le bonheur, tu as fait tien.
Je t'aime Charlie,
Et ce pour le restant de ma vie.
Écrit par Sorrow
A quel âge un homme perd la pureté qui habite son cœur quand il est enfant ? On la perd quand on cesse de rêver et lorsque la vie cesse de nous enthousiasmer
Catégorie : Divers
Publié le 24/02/2011
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Commentaires
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Posté le 24/02/2011 à 12:43:26
Bel instant qu'il faut marqué. | |
eric |
Posté le 24/02/2011 à 17:11:36
j'ai beacoup aimé ton poème qui est ce troisième grand père ??? le mari d'une nourrice,,, est il "parti " ou toujours en vie,, | |
flipote |
Posté le 24/02/2011 à 17:13:30
ma derni§re question est incongrue : je n'avais pas vu le mot "feu" elle est inappropriée | |
flipote |
Posté le 24/02/2011 à 20:41:04
Il n'y a pas de souci flipote. Il était notre entraîneur de basket et tous n'avons que des souvenirs tendres de lui. Oui il était notre grand père du basket... Merci d'être passé à tous les deux. | |
Sorrow |
Posté le 01/09/2015 à 14:57:50
Très beau poème. Très émouvant. | |
benouz |