Avant nous étions inséparable.
Nous étions toujours d'accord pour sortir,
Aller nous amuser, danser, et rire.
A présent je suis fatigué, est-ce condamnable ?
Quand j'ai voulu mourir,
Ils se sont tous mobilisés
Et, pour une fois, ont si bien argumenté
Que je pus de nouveau sourire.
Mais malgré leur bonne humeur
Et la joie qu'il voudrait m'apporter,
Je m'aperçois, un peu désolé,
Que je n'arrive pas à partager leur bonheur.
Ils ont toujours cette joie de vivre
Cette envie de toujours avancer.
Leur jeunesse ne s'est pas fanée
Et il y a encore de l'innocence dans leurs rires.
Mais mon cœur s'est renfermé.
J'ai, moi aussi, aspiré à ce bonheur
Mais contrairement à eux je ne reçu que douleur...
Par jalousie, je me suis éloigné.
Au fond de moi je les envie...
J'aimerai avoir cette chance,
Qu'ils ont de vivre l'amour tel une danse.
Suis-je toujours digne d'être leur ami ?
Écrit par Sorrow
A quel âge un homme perd la pureté qui habite son cœur quand il est enfant ? On la perd quand on cesse de rêver et lorsque la vie cesse de nous enthousiasmer
Catégorie : Triste
Publié le 12/01/2010
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Poème beau et mélancolique ... Nous ne serons jamais les mêmes que autrui, même que ses proches, car nous sommes voués à être singulièrement seuls, impossible de nous penser correctement nous-mêmes. Ce qui est important derrière les beaux sourires c'est la façon de vivre, la façon de prendre chaque seconde, les vents ne peuvent peut-être pas être commandés, mais la voile et le gouvernail le peuvent bel et bien, et l'esprit du marin plus que jamais. Amitiés |
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Eoz |