Les territoires célestes connaissent une certaine pureté différenciable entre toutes,
Des paysages astraux resplendissants, occupent de belle lumière l'esprit, ne peut-il sombre,
Saine écritoire des rêves soleils, plume esthète, du rai, l'hymne des anges parle sans le doute,
Des récits sages, joyaux des grandissants mots sûrs, se plaisent du règne des cimes de fleuris mondes,
Les récitals exceptionnels s'hument tel l'air pluriel qui présente l'âme d'ambre rouge,
Est estimable, l'oiseau des landes grisantes nocturnes, que l'être unième esquisse de ce tison,
Pérénnisable et de bonnes lettres, une clairière lunaire d'idées amples parle, tendre, douce,
L'éther s'image, tableau géant qui chante comme dune, le rêve d'une terre fertile, de bleues nuits longues,
Les vers, syllabes ailées comme l'aigle, sculptent les scènes du verbe inhérent à l'encre source,
Près des rimes sables, la flore est dense, immense, aux lotus de vertes prunelles telle l'île de ce vif songe.