Lorsqu'il refuse le fantasme que l'on nourrit
Adonnons-nous à la musique sur coquillage
Absurde activité pour oublier ses tristes dits
Désir en détresse que nous pensions sage
C'est beau la mer nous ne parlons de rien
Pour taire ces secondes de silence meurtri
Ne restait que l'arrière à imaginer demain
Ce qu'il nous faut voir les signes du déni
Cessons d'espérer de contrer ou de paraître
Plus franc sera le jour plus franche sera la nuit
Cessons d'en parler nous ne sommes maîtres
Que de nos rêves qui forgent nos viles envies
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Écrit par TheSnake73
« Si tu as cru, destin, que je pouvais partir, il fallait me donner des ailes. » Pierre Reverdy.
Catégorie : Triste
Publié le 17/01/2013
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Commentaires
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Posté le 17/01/2013 à 21:04:31
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L'ignorance est un plus grand fléau. |
Altair  |
Posté le 18/01/2013 à 06:25:28
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j'aime la fluidité et la musique singulière de tes vers , petite fée,,,,, |
flipote  |