Des anges trop noirs s'écoulent comme la pluie,
Et se voient refléter dans les grands miroirs d'eau,
Quand de l'aube jusqu'au soir et jusqu'à minuit,
Tous nos corps éreintés rêvent encore à là-haut,
Et même lorsque le temps consume nos ailes,
Tu répands de ta grâce sur nos coeurs voilés,
Malgré les grandes personnes aux voix de crécelles,
Qui s'entre-déchirent jusqu'aux cieux décimés,
Et quand s'épuise se saoulant le souvenir,
Celui qui ne voit plus qu'à travers l'irréel,
Je sens sous ton regard tout mon être embellir,
Car tu brilles en mon âme, ma muse, mon ciel.
Écrit par Tristitia
La vie ne tient qu'à un fil, qui finit tôt ou tard par casser.
Catégorie : Amour
Publié le 20/07/2013
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Commentaires
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Posté le 20/07/2013 à 09:58:35
C'est bien, c'est beau. Les deux derniers vers sont remplis d'une émotion bien ressentie ! Le rythme est rapide, bien senti. Continue comme cela ta plume est solide ! |
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Thatsecret |
Posté le 20/07/2013 à 14:24:58
Oui, une belle écriture ! J'aime beaucoup ta phrase fétiche. C'est vrai qu'il n'y a qu'une seule chose de sûre dans la vie : c'est comment ça finira... dans l'trou ! |
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Marouette |
Posté le 26/07/2013 à 22:00:44
Merci beaucoup, vos bons mots me touchent. Marouette, tu as bien raison ! | |
Tristitia |
Posté le 26/07/2013 à 23:30:34
" tous nos corps éreintés rêvent encore à là-haut" Superbe ! |
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Lhyndae |