Un matin de Printemps des merles gazouillaient
Sous un soleil ardent qui chauffait leur plumage
L'infini firmament n'avait pas de nuages
Sur un banc isolé un couple s'embrassait
Leur univers n'était qu'un temple de l'amour
Leurs baisers s'envolaient comme de la fumée
Qui dessinait des ronds qu'une bise madrée
Dissipait tendrement sous le regard du jour
Ils étaient seuls au monde et cela leur plaisait
Tout occupés d'aimer leur moitié enivrée
Leurs parfums fusionnaient comme l'eau des marées
Avec le sable fin où les vagues mourraient
Leur désir contrôlé montait tranquillement
Leurs soupirs se mêlaient avec une harmonie
Qui appelait sans fin la musique infinie
D'une lyre accordée à leurs regards diamants
Leurs joues pâles rosies étaient marbrées de foi
Leurs cœurs à l'unisson donnait un chant sans peine
Autour d'eux le silence en murmurant "je t'aime"
De calme les cernait célébrant leur émoi
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Bonjour Vermeil, merci pour cette... merveille ! J'ai oublié la beauté et la simplicité d'un amour limpide, car je n'y crois plus. Ce poème est tel un paysage serein, une vue de montagne qui écrase toutes les incertitudes. Il m'a fait beaucoup de bien, même si tout n'est que rêve ! A savourer immodérément. Merci pour ce favori... |
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Stopjarette |
Fin et subtil. | |
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Bonsoir, Beau Regard Vermeil d'un " Vermeil" qui sait rendre Hommage à ces Couples si amoureux oubliant le Monde qui s'agite autour d'Eux .. Douceur Printemps exquise .. :) LyS .. |
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Lys-Clea |
une merveille poétique, j'adore ! merci du partage @micalement en favori |
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Gabrielle-E |
Le regard voyeur du poète sait rendre hommage aux anonymes des bancs publics, des gens simples qui deviennent plus importants dans la lumière ainsi posée sur eux | |
Edelphe |
Merci à tous | |
Vermeil |
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