Ton nom résonne en moi comme une plainte,
Quand la nuit vient ton souvenir est ma crainte,
Ton regard s'éveille alors à mes pensées,
Ce n'est plus qu'un gouffre terne et délavé,
En lequel mes yeux plongent et se creusent,
Je hais ce que tu es devenue, piteuse !
Auprès de ce singe, miroir de tes pensées,
Qui a muté en ce que tu voulais aimer.
Cet amour raisonné ne fait que te tuer...
Les pieds sur terre tu ne pourras plus rêver.
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Commentaires
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Posté le 24/09/2012 à 19:30:48
Une condamnation cinglante. | |
TANGO |
Posté le 24/09/2012 à 19:49:40
Je n'y comprends que pouic ! | |
flipote |