Sur le cou d'une hyenne,
Dans une des steppes secrètes africaines,
Trône, lâchement une chaîne.
On la nomme la hyenne-aliénée..
Sur ce cou abîmé des luttes de la vie,
On y lit aisément, la marque d'une servitude,
Passé est le passé,
Mais le collier est resté,
Attaché Marqué,
La Hyenne crie au loup !
La steppe se réveille pour délivrer son cou,
Les chiens et les chiennes en éveil,
Dans la nuit indolore, courent ensemble
Vers le cri douloureux,
Tout le troupeau que le jour endort
Est soudainement possédé par le même rêve obscène :
Celui de la liberté !
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Yonisland au hasard |
Commentaires
Annonces Google |