La main tendue vers le feuillet
Inépuisable creuset où mes yeux
Plaisent à jouer et à s'y jeter
La ligne suit son court, et
L'imaginaire se dérobe sous la courbe
De la tranche sentant la vieille colle usée,
Amenant le lecteur dans l'intarissable Colisée
De la raison qui ne s'est jamais aussi bien mêlée
A l'imagination aux fantasques effluves étoilées.
Arrivé au bout du livret,
Une fois le bouquin fermé
Émane encore le souvenir
De l'intense moment de plaisir.
Cherche un ou une poète qui m'aiderait à compléter :)
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Commentaires
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Posté le 22/11/2012 à 01:10:29
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J'essaierai, avec l'aide des muses, qui sait. Et puis, nous restent aussi les douces compagnies D'héroines, héros, à jamais dans nos vies Et dont le souvenir, deviendra éternel Que nous retrouverons, qui sait, vivants, au Ciel |
flipote  |
Posté le 22/11/2012 à 23:19:59
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J'ai aimé cette ode à la lecture et aux livres, mais je ne suis pas capable de continuer votre idée sans dénoter alors je laisse cela aux personnes inspirées et à même de continuer agréablement votre ode. Et pourtant j'adore lire. Merci du beau partage. Bonne soirée Pétale d'oeillet |
rebecca  |
Posté le 28/11/2012 à 11:33:29
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J'aime bien. Si tu veux, je peux essayer de le compléter. Envoie moi un message privé tu veux. |
Eldarion  |