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Je ne vois plus mes cerceaux,
mes lampions, mes arabesques d'or,
mais seulement le ciel où les nuages jouent
à se dépasser.
Je n'entends plus les clochettes
que les troupeaux font tinter
mais seulement le froufrou de la brise
dans mes volets fermés.
Je ne respire plus le parfum du muguet écrasé ;
un seul brin suffirait à me le rappeler.
J'ai une compagne, mince, tremblante,
la solitude.
Écrit par Zabeth B
Même quand tout est dit,
reste le poème qu'on n'a jamais lu. Catégorie : Triste
Publié le 16/10/2008
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Commentaires
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Posté le 16/10/2008 à 19:03:33
Très joli poème. | |
pichounne |
Posté le 16/10/2008 à 21:29:12
très beau poème. | |
sadness |