La joie m'envahit et enfin mon cœur sourit,
La maladie s'endort et la vie s'améliore,
Le travail amène l'argent, on m'avait averti,
La roue tourne, c'est la règle d'or.
Je quitte ce logement tout pourri,
Ces couloirs abîmés et ces portes cassées
Trois lettres que je n'oublierai jamais,
H.L.M, suffisantes pour te gâcher la vie.
Je laisse aussi ces faux amis,
Qui chacun à leur tour m'ont blessé
Ca aussi on me l'avait dit
Attention aux âmes endiablées
Il faut que j'écoute d'avantage
Les paroles des sages
La patience est une vertu
Cette vérité n'a pas disparu
Elle vient avec le temps
Pour ceux qui sont impatients
J'ai compris bien des choses
Pendant ce moment de pause
Le brouillard s'éloigne
Il a perdu de sa poigne
A présent tout est clair.
Un grand merci à ma mère.
Écrit par absolème
croquer la vie au maximum afin qu au terme de ma vie il ne reste que des miettes!
merci de laisser un commentaire sur vos impressions sur les textes que je propose ça m intersse beaucoup de savoir ce que vous en pensez! Catégorie : Amitié
Publié le 27/07/2010
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Félicitation pour ta sagesse et ton bon sens et aussi pour la légèreté et la finesse de ta plume, joannes pardon dit le Père Jules | |
Pardon Joannes |
je suis pleine d'admiration, comment ne pas t'approuver tout en goûtant ta charmante écriture ! | |
flipote |
allez go ! tu m'as l'air d'être une fille pleine de volonté ! Le passé est derrière toi, vis au présent et construis ton avenir ! Joli poème jeune fille, amitiés | |
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