L'aube fleurie secouât les pétales
Offrit un maternant baiser dotal
aux piafs qui se lèvent avec l'aurore
et aux frais bourgeons prêts à éclore
Cirrus celât d'une discrétion totale
la scène câlinement sentimentale
craignant, que l'enchanteur décor
se verra conjurer de mauvais sorts
Telle la jeune métayère vestale
au sourire aussi pur que le cristal
œuvre divine faite pour être aimée
L'ardent attrait, fera-t-il blasphémer ?
Closière, sans un grain de glamour
partout où elle va… sème l'amour
Ceux qui la traitent de femme fatale
Leurs âtres fument à l'horizontale !
barateur
Le 27/05/2018
Écrit par barateur
L’alphabet fut l'origine de toutes les connaissances de l'homme et de toutes ses sottises. Voltaire (1694-1778)
Catégorie : Amitié
Publié le 22/08/2018
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Commentaires
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Posté le 22/08/2018 à 08:55:36
malice et poésie!un elixir de bonne humeur,merci ! | |
Aria |
Posté le 22/08/2018 à 13:35:42
La fenêtre s'ouvre sur les teintes ocres de l'aube et elles n' ont pas à craindre du sort tant cette main poétique sait les sublimer ...merci Ahmed ! | |
Yuba |
Posté le 22/08/2018 à 15:15:51
couleurs délicates d'un matin secret amitiés:) | |
romantique |
Posté le 22/08/2018 à 22:05:45
Merci infiniment les ami(e)s, ce texte est un hommage à ces braves femmes de la compagne qui ont toujours le cœur sur la main, ces pures âmes ruisselantes de vertu, toujours les premières à dire bonjour avec un radieux sourire que les esprits malsains prennent pour des femmes fatales. | |
barateur |
Posté le 25/08/2018 à 09:55:24
merveilleux poème ... merci :) | |
MARIE L. |
Posté le 27/08/2018 à 19:24:21
Merci beaucoup MARIE...amitiés :) | |
barateur |
Commentaires
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