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J'entends parfois le jour qui
Bat comme un grand coeur qui
Se propulse de sa fusée à pulsations
Il cogne fort de tous ses gonds
Trouant nos têtes endolories
Et je lui fais la grosse tête
Mais voilà, il me sourit
Ne sois pas sotte Henriette
Tire la bobinette
Et la chevillette cherra
Ou le contraire ce sera
Ô tendre et chère Henriette
Ma soeur Anne, ne vois-tu rien là-bas ?
Je ne vois que le jour qui passe
Sa besace est son fardeau
La tristesse qui l'efface
La muse a rangé son pipeau
J'entends la nuit qui vient
Comme un grand coeur qui se résorbe
Comme une peau de chagrin.
11 décembre 1983
Écrit par calsior
A qui la poursuit
la luciole offre sa lumière ! ôtomo Oemaru Catégorie : Triste
Publié le 13/01/2008
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Commentaires
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Posté le 13/01/2008 à 22:04:14
Cela me fait penser à la quète de Brel celle de l'amour chercher et chercher et chercher toujours sans relache! |
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adlin |
Posté le 13/01/2008 à 22:05:29
Je suis croyante! | |
adlin |
Posté le 14/01/2008 à 07:47:03
Brel disait quelque chose de magnifique : "Je crois que Dieu ce sont les hommes et qu'ils ne le savent pas" | |
calsior |