La force du courant de la rivière amie
Fait tourner lentement les ailes du moulin
Que l'homme de bon sens a bâti de ses mains
Pour y moudre le grain, la farine de vie.
À l'eau de ton amour les ailes de mon cœur
Tournent à déraison, devant tant de puissance.
Il n'est besoin de rien, ni moteur ni essence,
Juste tes sentiments et les miens tout en chœur.
Tant que de ta passion coulera ce torrent,
Tourneront les moulins de mon cœur bienheureux.
Rien ne peut m'inquiéter sinon la sécheresse
D'un émoi vieillissant, d'un filet se mourant.
Je jouis de l'instant et d'un ciel toujours bleu
Dans toute sa beauté, de toute sa tendresse.
Écrit par chriseline
Emoi des mots
Catégorie : Amour
Publié le 01/11/2013
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Commentaires
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Posté le 01/11/2013 à 16:28:13
Chemin très classique que j'évite d'emprunter. Par contre, tu as raison d'affirmer qu'il faut vivre le moment présent. | |
Intruder |
Posté le 02/11/2013 à 10:06:39
Très beau poème, j'adore la deuxième strophe ! Bonne continuation |
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Caliopsa |