Un bus, une camionette
je suis calme,
ou…
à coté de moi même
ici sembles se dérouler tel un ballet, la nuit
tout se déroule celons un plan, une musicalité sensoriel
les renards vont dans les tamis
je cour derrière les bar blanchies
récupère du matériel
et avec tout mes soupçons
je flanche et passe à l'action
une autre camionnette, une lettre à travers la nuit
elle amené un ennemie
le message d'un mort
une ombre
vite elle me suit
mais qui songe
vis-à-vis ma vie, vit, conduit, et se finie
je me ronge
blanche colombe je ne pus trouver ta nuit.
si tu fuie,
ne serait-ce qu'un instant, rugie !
suffit ! arrête tu gémit
sans rien, face à l'infini
je t'en suplie
arrête tes rime en "i"
je m'ennuie
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Commentaires
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Posté le 17/05/2014 à 06:10:58
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Merci clofo pour ce bon poème qui semble s'être bâti sur le hasard automatique des allitérations se suscitant, puis de quelques assonances placées à la rime, notamment en ce qui concerne le 18ème vers. Amicalement. |
jacou  |
Posté le 17/05/2014 à 09:04:09
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Merci clofo pour ce très bon poème, qui semble animer les mots d'une vie propre, la présence grandissante du son "i" soulignant l'ennui qui semble être le leur autant que le votre. Bien à vous |
| Florent |