Broyé par la servitude, j'en appelle aux démons,
De l'art tu es la coqueluche, écriture désarmée
Symboles élégiaques, des paragraphes à l'épée
Par centaines des mots, que je laisse à foison.
Jamais repus des femmes en nombre incalculable,
Satirique lâcheté me promenant dans vos gouffres
Épileptiques dans l'aigreur, traîtres au goût de souffre
Un havre de morosité et de corps délectables.
Affaisses cette torpeur qui te malmène,
Blanchis les pléonasmes, donnes vie aux ébats,
Conclues le spectacle et brille de milles éclats,
Une vie de baises torrides que tu as dans les gênes.
Quintessence de douceur, à bat les tendres,
Certain que que la gentillesse ne m'est pas appréciable,
Le besoin de chaire est bien trop cérébrale,
Souffrances et tracas mon coeur n'est plus à pendre.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 10/12/2015
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Iloa Mys |
Merci j'ai corrigé tout ça, amitiés :) | |
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