Miroir profond où tout se garde
Comme un écrin pour cent saisons
Le temps s'adosse à la rambarde
Là meurt le bruit de l'horizon
Jardin du voleur paresseux
De s'évader de sa cloison
Croit-il encore être amoureux
D'une fenêtre sa prison
Dans les oiseaux partent les heures
Vitement sont-elles passées
Par la fenêtre quelques fleurs
Et ton passage inoublié.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de daimo au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 10/09/2015 à 21:28:48
Trois petits quatrains qui suffisent pour me plaire, Trois gouttes de cristal. |
|
Vincendix |