un jour, j'aimerai être aimé,
sans que je me fasses saigner,
par sa mère, la femme que je ne peux détester,
sans qu'elle est à me juger,

être acceptée, sans me cacher,
derrière une face, que je ne puis plus supporté,
que je n'ai pas à m'en faire,
qu'elle m'aime, sans goût amer,

qu'elle me fasse confiance,
qu'elle cesse sa méfiance,
qu'elle me casse pour un oui ou pour un non,
j'ai l'impression de reconnaître quelqu'un,
de mon sang, ma chair,
qu'il m'a fait vivre bien des galères,

qu'elle dise que je ne mérites pas la chance,
que j'ai, que ce n'était pas écrit,
que c'est juste la vie,
que je me suis battue, certes,
mais à quel prix,
pour elle, il n'y a que les gens qu'ils ont cotisés,
qu'ils ont droit à être récompensés,

elle ne sait peut-être pas,
que ceux qu'elle en pense,
est primordiale pour moi,
qu'elle me blesse au plus profond de moi,
quand elle dit ces choses là

je me remets de ça,
après des douleurs, des absences de lever,
des envies inachevées,
avec mon homme, qui me comprend,
qu'il attend, que je vais mieux,

pour prétendre à trier,
les actions, que je fais,
en faire moins,
plus gâter,
s'occuper de nous,
plus se disputer,

se préserver,
la voir de moins, en moins
y parler, mettre les choses au clair,
c'est lui, qui veut s'en charger,

j'ai trouvé, que je l'aime,
1000000000000000000000000à l'infini plus,
car il veut mettre un terme,
à ces souffrances permanentes,
que lui spectateur, dégoûté,

de ce malheur, de ces femmes,
ne se comprennent pas,
pour lui, font les pas,
mais ne se plaisent pas,

c'est cette homme pris par deux femmes, qu'il aiment,
comment faire pour que ça marche,
entre elles, qu'elles ne sortent plus les armes,
comment faire pour qu'une comprend, avant l'autre,
d'ignorer, de toute façon,
qu'elle n'ait pas à s'en faire,
son homme l'aime,
au prix de se disputer avec sa mère.