La guerre est un taille-crayon
Pfffaut-il combattre ou être mesquin ?
Même le ciel était plus aiguisé
Et mieux sentait le jardin
Dans tes bras croisés, nerfs nus,
Erre ma sérénité au joli minois
Se répand la largeur du toucher
Se répand comme de la voix
Pchchaque nuit fut l'avant-dernière
Reste la conscience, vil rongeur des âmes fortes
Et trébuchent les courants d'air
Et les rues sont pluvieuses et mortes
Je t'appelle, mon rêve du nord
Ce pays porte atteinte à mon insouciance
Arrachés tous les deux, la trêve nous fait tort
La haine suspendue, les rites de méfiance
A l'heure où les astres surplombent la ville
Je vaux la clarté de tes cordes
Bfffantôme obstiné, ta tristesse juvénile
Chante sur les routes de ma miséricorde
Écrit par eco-blanchiment
Nos années se lient.
Catégorie : Amour
Publié le 07/11/2012
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Commentaires
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Posté le 07/11/2012 à 16:05:27
J'aime beaucoup le premier vers, la guerre un taille-crayon. | |
Intruder |
Posté le 07/11/2012 à 16:07:07
Je me suis un peu perdu dans les images (taille-crayon, jardin, comme de la voix, vil rongeur des âmes fortes, rite de méfiance), sur la dernière strophe je n'ai rien à redire. Bonne continuation ! | |
Good Times Bad Times |
Posté le 10/11/2012 à 12:22:16
C'est toujours un plaisir de te lire eco, particulièrement lorsque que tu te perds un peu dans tes mots. Mais j'aime bien et j'en redemande ! | |
People Are Strange |
Posté le 12/11/2012 à 16:23:39
Merci, sauf que je ne me suis jamais perdu dans mes mots. je n'écris que pour me retrouver. | |
eco-blanchiment |