La souffrance fait partie du corps
Elle y coule, s'arrête aussi
Pour apaiser tes gestes
La souffrance est un moulin
Qui alimente la contrée de tes rêves
Elle élève des moutons.
Elle a failli te surprendre
Pour que tu descendes aux champs muets
Pour huer avec un espoir sauvage
Écoute les pas
C'est le vent à sa charrue
Tu as peur
Le temps ici ne te parvient
Le sauveur et le déserteur
En toi sont unis par un lien.
Écrit par eco-blanchiment
Nos années se lient.
Catégorie : Divers
Publié le 16/04/2012
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Commentaires
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Posté le 16/04/2012 à 04:47:05
Ce texte, c'est de la grande poésie, impressionnée, je suis | |
flipote |
Posté le 16/04/2012 à 10:02:39
Qu'appelles tu les champs muets ? eco | |
flipote |
Posté le 16/04/2012 à 12:27:34
Je vous répondrai en message privé pour ne pas imposer ma perception à d'autres lecteurs. | |
eco-blanchiment |
Posté le 16/04/2012 à 13:27:27
J'aime beaucoup; cette souffrance en nous qui nous prend et nous laisse pour mieux nous surprendre; comme une lutte permanente C'est beau |
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Naoned |