Je te connais à peine
Tout simplement ton odeur m'est très proche
Tu l'avais emportée des autres plages
Elle surplombe la ville
Ce soir je t'invite à arpenter les rues
Où niche l'éventualité.
Un monument déplacé
Mis à nu
Embrasse le silence
C'est la question d'habitude.
La vie a stagné
Seul l'art est à même de te ragaillardir
Fidèle,
Tu y excelles à en oublier de manger
C'est pour ça que tu trembles ?
Fasciné par les veines de ton avant-bras
J'ai prononcé le mot «confident».
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Écrit par eco-blanchiment
Nos années se lient.
Catégorie : Divers
Publié le 20/05/2012
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Commentaires
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Posté le 20/05/2012 à 17:57:48
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Ce m'est un peu obscur, mais c'est très beau, étrange et beau le mystère ajoute au charme. |
flipote  |
Posté le 20/05/2012 à 18:59:30
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Un bon lecteur est celui qui sait lire entre les lignes ! |
platon  |
Posté le 20/05/2012 à 19:42:14
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Tu as la piqure pour une adepte de la seringue ? |
Intruder  |
Posté le 24/05/2012 à 12:04:43
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Une écriture très noir, déchirante. Tu as vraiment un certain talent pour emmener le lecteur sur plusieurs sentiers et rien que pour cela un immmense bravo ! Ce poème est adressé à une personne qui t'es chère ? |
| cocoboys@hotmail.fr |
Posté le 24/05/2012 à 19:51:56
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Tous mes poèmes sont peuplés de personnages plus ou moins significatifs de ma vie. P.S. Alphonse,ça n'a rien à voir avec la drogue. C'est beau de regarder les veines. |
| eco-blanchiment |
Posté le 26/05/2012 à 03:29:21
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Tu es le premier qui me dit ça. |
| Intruder |
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