Quand je pense à mon coeur
Je ne pense à rien
C'est le vide humain
J'ai toujours préférer les copains
Quand je pense à la famille
C'est la fin
Surtout au masculin
Quand au féminin
Il y a ma mère
Qui se bat contre la galère
Ce ne sont que des pensées mais elles sont tristes et fanées pour arriver jusqu'à toi
Qui m'apprend le combat
La famille est brisée
Le père décédé
Nous ne sommes plus que quatre
Pour apprendre à nous battre
Et c'est bien dur
Pour briser les murs
Et tous les muscles qu'il faut
Je les mets dans ces mots.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de eric au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 01/10/2011 à 00:26:34
 |
superbe et poignant ;; style pur, épuré plutôt minimaliste comme la sculpture étrusque ou Giacometti,, mais si émouvant je t'aime ERIC et tous les amis du site où je reviens avec bonheur |
flipote  |
Posté le 01/10/2011 à 17:55:15
 |
Toujours des mots si parlants et captivants... Ton coeur y est et ça se sent... Très bel écrit qui m'a bouleversé... Marikita-501... |
Marikita-501  |