Comme une montagne d'embranchement enivré
Odeur de solitude ne se dissipant
Abandonné au cachot sombre et se croyant
Méprit d'une emprise qu'il ne peut détourner
Comme le ciel nocturne nous semble étoilé
Et par des chansons tristes que sifflait le vent
Puis attendant le procès, barré sous fer blanc
Comptant les derniers instants de sa liberté
Et comme ce premier jour de peine lui semble ennuyeux
Se considérant comme l'un des plus malheureux
Faire place aux routines : n'entrez-vous pas dans la ronde
Ensemble changeons cette misérable vie
Destinée aux gens soupçonnés d'être immondes
Et étouffés par l'injustice qui se crie.
Écrit par faiusgsdD
Nul ne peut prétendre me connaître, je me contente d'être.
Catégorie : Triste
Publié le 19/04/2009
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Commentaires
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Posté le 19/04/2009 à 22:28:14
Quel talent, je suis vraiment impressionnée ! continue à nous régaler de ta jolie plume. Amitiés Louann |
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louann |
Posté le 19/04/2009 à 22:36:44
Joli poème, je vais devenir fan de tes textes moi aussi. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 19/04/2009 à 22:38:42
Que dois-je dire? Merci ou de rien? Je ne pencherai pas dans la prétention, alors merci! Missène |
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faiusgsdD |
Posté le 19/04/2009 à 22:54:44
Très beau sonnet, félicitation. Tu as vraiment beaucoup de talent. Dominic |
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dpelletier |
Posté le 20/04/2009 à 13:30:49
Tu écris tellement bien! | |
Otiosus |
Posté le 21/04/2009 à 02:22:07
Merci encore... | |
faiusgsdD |
Commentaires
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