Chante-la ta chanson, tel un troubadour
Je devrais m'y résoudre, malgré la faim qui tue
Le voyage est long, le temps se fait court
L'eau n'abonde seulement qu'en période de crû.
Quel errant ne traites-tu pas de dément ?
À quoi bon nourrir un noble assoiffé
Autrefois heureux, mais clamant l'argent
La prospection du trône nous rend effréné.
Éclat de prétention foudroyant ces terres
Brime tristement l'atteinte de nos droits
Triomphant la maladie, mais quelle galère
Qui pourrait bien faire taire ces rois !
Il y aura sans doute une suite...
Écrit par faiusgsdD
Nul ne peut prétendre me connaître, je me contente d'être.
Catégorie : Triste
Publié le 21/04/2009
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