Elle était si belle
La jeune Isabelle
Que mêm' les oiseaux
En restaient berlauds
Perchés sur la branche
Où ils s'arrêtaient
Admirant la blanche
Enfant qui passait
Même la grenouille
Aux gros yeux dorés
Et aux pattes rouille
Se taisait, charmée
Autour d'la petite
Silence se fait
Chaque coeur palpite
Dans les bois, les prés
Instant de magie
Qu'on n' peut oublier
Douce et jeune amie
Qui sut nous charmer
Écrit par flipote
Sans peur je balance en ligne Mes mots de mamie indigne.Bien pis ! je persiste et signe.
Catégorie : Divers
Publié le 17/11/2012
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Commentaires
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Posté le 17/11/2012 à 00:03:44
J'aime beaucoup, c'est vraiment très joli. | |
macLoscope |
Posté le 17/11/2012 à 00:09:38
Un poème charmant comme sait si bien les faire flipote, à qui je souhaite une bonne nuit. | |
Mokolo |
Posté le 17/11/2012 à 05:30:41
J'ai dû la rencontrer cette petite, adorable poésie je la garde, je t'embrasse poétesse enchanteresse. | |
amnous |
Posté le 17/11/2012 à 17:53:14
J'en reste aussi "berlaud" sans savoir ce que cela veut dire ! N'empêche, elle est bien belle Isabelle. | |
saumon |
Posté le 19/11/2012 à 22:25:56
Mignon comme tout ! Amitiés poétiques ! Roger |
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rogertibbart |