oui, poème en duo car il part sur un vers dont j'ai oublié l'auteur, et le reste du poème, hélas !
à tous de m'aider merci
Le Temps, qui sans repos, va d'un pas si léger,
nous ôte sans répit toutes les belles choses :
les rires des enfants, et le goûteux baiser,
les repas entre amis, la musique et les roses,,,
les refrains à trois voix près du feu odorant;
les sardines grillées, au beurre ail et persil,
et l'aide cuisinier : un très très cher amant
un gars fidèle et tendre, et drôle et gentil
les randonnées à deux dans le bois solitaire
les vagues de la mer où l'on plongeait si bien,
la robe de trois sous qu'avait pas coùté cher,
mais qui charmait la vue et de l'homme et du chien !
tous les petits bonheurs d'une vie transitoire,
venus on ne sait d'où, mais vraiment bienvenus
Chassés tout doucement au dessus de la Loire
nous laissant orphelins, aux coeurs tristes et nus,,,
un gars fidèle et tendre, et drôle, et si gentil,,,
Écrit par flipote
Sans peur je balance en ligne Mes mots de mamie indigne.Bien pis ! je persiste et signe.
Catégorie : Duo
Publié le 25/11/2011
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Le Temps qui, sans repos, va d'un pas si léger - Emporte avec lui que toutes les belles choses, - C'est pour nous avertir de le bien ménager, - Et faire des bouquets dans la saison des roses. Les Amours François L'Hermite, sieur du Soliers, dit Tristan l'Hermite |
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Naoned |
Consolation à Idalie sur la mort d'un parent Si la Mort connaissait le prix de la valeur Ou se laissait surprendre aux plus aimables charmes Sans doute que Daphnis garanti du malheur, En conservant sa vie, eût épargné vos larmes. Mais la Parque sujette à la Fatalité, Ayant les yeux bandés et l'oreille fermée, Ne sait pas désigner les traits de la Beauté, Et n'entend point le bruit que fait la Renommée. Alexandre n'est plus, lui dont Mars fut jaloux, César est dans la tombe aussi bien qu'un infâme : Et la noble Camille aimable comme vous, Est au fond du cercueil ainsi qu'une autre femme. Bien que vous méritiez des devoirs si constants, Et que vous paraissiez si charmante et si sage, On ne vous verra plus avant qu'il soit cent ans, Si ce n'est dans mes vers qui vivront davantage. Par un ordre éternel qu'on voit en l'univers Les plus dignes objets sont frêles comme verre, Et le Ciel embelli de tant d'Astres divers Dérobe tous les jours des Astres à la Terre. Sitôt que notre esprit raisonne tant soit peu En l'Avril de nos ans, en l'âge le plus tendre, Nous rencontrons l'Amour qui met nos cœurs en feu, Puis nous trouvons la mort qui met nos cœurs en cendre. Le Temps qui, sans repos, va d'un pas si léger, Emporte avecque lui toutes les belles choses : C'est pour nous avertir de les bien ménager Et faire des bouquets en la saison des roses. |
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Naoned |
Flipote, il est riche ton poème et tendre et beau c'est que de vivre fort cette mélancolie t'honore. Ton courage n'en a pas fini de surprendre. Je t'embrasse |
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zenobie |