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L'océan de la pâleur.
Proche de la syncope et du tourbillon des flots,
La brutalité sans nul pareil, de l'eau frappa les, maux
Pareil à la douceur du tonnerre et des bruits raisonnants et inégaux
Les vagues de l'océan viennent frapper les plages et les îlots.
Il n'y avait aucune violence identique à elle, sans nul pareil et térrifiante.
Le déchirement des flots, heurte les digues portant l'eau,
L'effleurement de l'eau sur la coque du bateau l'éventra, et les sots
Ecumaient, l'eau débordante qui sur le navire, chavira grâce à ces forces, pas de peau.
Le bateau parti à la dérive dans ces abîmes et perdu dans de larges maux
Ces repères n'étaient qu'un petit rien, dans ce gouffre d'eau si haut.
Elevées jusqu'au ciel, les vagues vinrent brutaliser les ports et les canaux
Les mots du marin retentirent, ordonnant la retraite des pauvres, la glace se resserrant comme un étau.
Les vagues bouillantes, et marquées par la grand déchaînement des eaux.
Qui ne se décrit comme le lourds fracas, heurtant leurs bras durcits par le sang,déchiquetés et ce sang dissolus sur le linot
Alors trempe les vagues en écume, mélangées aux blessures mortelles des pauvres idiots.
Qui se permit de voyager sur l'océan tout puissant, alors victimes des anneaux,
qui avaient lâchés à l'amarrage, il était trop tard pour se sauver : moment du choc et le chaud
Moment de la passion de l'océan qui avait dit ses mots.
Écrit par francé2
Dire que l'on aime à la personne que l'on désir c'est être grand
Catégorie : Amitié
Publié le 17/11/2007
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as-tu utilisé Word ? Je pense que oui, et ça réduit de beaucoup tes fautes !! Il en reste quelques-unes mais pas énormément. Bravo | |
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